Angers
Commémoration du 11 novembre 1918
Une nouvelle fois notre section ANCAC d'Angers a tenu à célébrer l’armistice du 11 novembre 1918 afin de rendre hommage a tous nos morts, invalides et blessés pendant ces 52 mois de combat.
Le devoir de mémoire est une nécessité, honorer ces combattants c'est leur rendre hommage, à ceux qui sacrifièrent leur vie pour la patrie et la liberté.
Présence également des sections des anciens combattants des PTT et de la FNACA avec leur porte-drapeaux respectifs.
La gerbe fut déposée par le représentant de la SNCF M. DANIEL Nicolas et Didier RIBOT trésorier de notre section.
Le directeur de l'ONAC, M. Sylvère VESNIER était excusé.
Le message de L'UFAC fut prononcé par Guy PASQUINET secrétaire adjoint de la section.
Lecture des morts de ce monument par Edgard Tijou. trésorier adjoint
Le président Moïse DERSOIR demande d'observer une minute de silence à la mémoire de ces hommes tombés pour notre liberté.
Il remercie la présence des associations, du représentant de la gare et tous les participants à cette cérémonie et il remercie et salue les porte-drapeaux.
Nous avons renoué avec le verre de l'amitié salle Marpeau ou tous y étaient invités.
Profitant de cette bonne assistance le président à dénoncé encore un décret du 23 juin 2023 portant changement de dénomination de la RETRAITE du COMBATTANT par une ALLOCATION de RECONNAISSANCE du combattant !!
Le motif : le nom retraite du combattant est qu'il ne peut s'agir d'une retraite car aucune cotisation n'a jamais été versée par les bénéficiaires. Certes nous n'avons pas versé de cotisation, mais les souffrances physiques, morale, sans oublier les larmes, le sang versé ne sont-elles pas supérieures à des cotisations !
Sans oublier aucun salaire pendant cette durée voir plus de 30 mois pour certains.
Cette retraite du combattant existe depuis la loi des finances du 16 avril 1930
Qu'ont-ils derrière la tête pour sortir cela 90 ans après cette loi ?
Il nous faut agir pour que le terme allocation ait les mêmes caractéristiques que celui de Retraite, car il sera beaucoup plus facile pour l'administration de supprimer une allocation du jour au lendemain par rapport à une retraite.
Le président de la section Moïse Dersoir