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Limoges

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La vie des sections
11 septembre 2023
Mis à jour : 11 septembre 2023
Affichages : 25

Limoges

 

Le 7 mars 2023, une plaque en Hommage à Pierre Semard a été dévoilée à la gare de Limoges car nous n'avions pas de lieux de recueillement en sa mémoire.

Il y a un an déjà en ce même lieu, nous avions décidé de commémorer le quatre-vingtième anniversaire de l'assassinat de Pierre SEMARD. Devoir de mémoire, pédagogie et maintien du lien intergénérationnel, tels sont les éléments qui ont prévalu et prévaudrons dorénavant pour cette cérémonie de commémoration.

Il y a un an aussi, nous étions toutes et tous sous le choc d'une guerre que venait de déclarer le Président Russe Poutine à l'Ukraine de Zelinsky.

Nous pensions que ce conflit pouvait être rapidement réglé par une voix diplomatique sous l'impulsion de l'ONU, avec l'implication des grandes nations et de l'Europe notamment.

Depuis, des milliers d'innocents sont tombés sous les bombes, ont vu leur pays partiellement détruits, provoquant un exode massif des populations Ukrainiennes.

Aussi, c'est avec beaucoup d'émotion que nous sommes rassemblés aujourd'hui pour honorer Pierre Semard, grand défenseur de la classe ouvrière et des cheminots en particulier. Pierre Semard est tombé, il y a 81 ans, sous les balles nazis. A cet anniversaire nous associons l'ensemble des cheminots, en rappelant le souvenir de leurs 809 fusillés, décapités, pendus, morts sous la torture et les 1157 morts en déportation.

Pierre SEMARD était fils de cantonnier du chemin de fer et d'une mère de garde-barrière. Né en 1887, Il entre au chemin de fer à Valence en 1912 et c'est au contact du monde cheminot qu'il rejoint l'action militante qui marquera le début de son engagement syndical et politique pour la justice sociale et la paix. Il était secrétaire de la fédération des cheminots et membre du parti communiste Français. Il demeure à jamais le symbole de la résistance des cheminots à l’occupation. Plusieurs fois révoqué par la compagnie des chemins de fer ou par la SNCF entre 1920 et 1939, il fut incarcéré par la police Française dans la même période.

Lorsque le front populaire triomphe en 1936, c'est en tant que secrétaire général de la fédération CGT des cheminots réunifiée qu'il agit pour l'obtention de 21 jours de congés payés et la semaine de 40 heures dans les compagnies de chemins de fer.

Le 1er janvier 1938, lors de la création de la SNCF, il devient l'un des 4 administrateurs salariés pour une courte période car il est révoqué de son poste en décembre 1938 pour avoir appelé à la grève. Après une succession de mesures répressives à son encontre, Pierre Semard le 20 octobre 1939 est livré à l'occupant nazi. Au début de l'année 42, il est transféré par le régime de vichy de Bourges au camp d'internement de Gaillon. Le 6 mars, il est transféré à la prison d'Evreux et fusillé le 7 mars 1942 et tombe sous les balles d'un peloton d'exécution. Cet acte va renforcer les cheminots dans leurs résistance, leur combat revendicatif jusqu'à la grève générale et l'insurrection de 1944. Des obsèques officielles sont organisées par le PCF le 7 mai 1945. Pierre repose aujourd'hui au cimetière du père Lachaise

En ce quatre-vingt-unième anniversaire de sa mort, nous lui rendons hommage et avec lui aux cheminots de tous grades et tous services tombés dans la lutte contre le nazisme, pour la libération de la France, pour la paix et le progrès social et humain.

Sachons affirmer notre fierté d'être guidés par son courage et ses convictions.

Son engagement de résistant était connu de tous et comme de très nombreux cheminots il a donné sa vie pour la liberté pendant la seconde guerre mondiale.

Ses engagements pour le progrès social et sociétal se retrouveront dans le programme du Conseil National de la Résistance baptisé « Les jours Heureux », portant la nationalisation du gaz et de l'électricité, la création des Comités d'Entreprise, de la Sécurité Sociale, la retraite par répartition, le droit de vote des femmes, la 4ème semaine de congés payés, le SMIG, les ASSEDIC, le statut de la fonction publique....

Ces acquis constituent un socle social révolutionnaire que le patronat et les politiques qui l'accompagnent ne cessent de vouloir détruire, sans relâche et c'est pour cela que nous serons aujourd'hui, demain, et plus si nécessaire, dans la rue.

Pourtant notre modèle social solidaire a démontré son intérêt d'amortisseur social pour les travailleurs lors de la récente crise sanitaire que nous avons traversée depuis plus de deux ans.

Les combats de Pierre Semard sont toujours d'actualité et son héritage est ancré dans l’ADN des cheminots, porteur d'esprit de solidarité et de lutte, valeurs qui structurent de manière prépondérante une conscience de résistance reconnue historiquement et politiquement.

Le 8 mars journée internationale des droits de la femme, notre syndicat en partenariat avec notre union locale NORD et l'UD87 organise des initiatives, à 10h30, débat sur le droit des femmes et égalité femmes/hommes sur le parvis de la gare.

Après la restauration collective devant la mairie à 12 h, et la manif interprofessionnelle au carrefour des luttes à Tourny à 14h, Atelier et animation à 16 h avec « le collectif 8 »puis rassemblement à 17h 30 toujours devant la mairie, luttons ensemble pour une rémunération égale à celle des hommes, leur liberté de mouvement, leur liberté de disposer de leur corps, l'ouverture à tout emploi, le respect de leurs droits fondamentaux, le combat contre les féminicides qui n'ont jamais été aussi nombreux, autant d'engagements humanistes que Pierre Semard aurait portés.

Après de multiples démarches, la plaque a été acceptée et posée. La convention avec la SNCF est en voie de finalisation. Nous pouvons commémorer officiellement avec toutes les autorités, les collectivités les organisations de la CGT, la SNCF, l'IHS, les associations d'anciens combattants notamment l'ANCAC, l'ANACR, l'UDAC, l'ADIRP 87, les amis de la résistance, le musée de la Résistance à Limoges, et honorer dignement et avec humilité ce grand militant et résistant que fût Pierre Semard.

Le syndicat CGT des cheminots de Limoges en ce 81ème anniversaire de la mort de Pierre SEMARD est fier et honoré d'avoir permis cette journée de commémoration.

Retrait du drapeau Français et dévoilement de la plaque par Annie Conangle et Jean-Marie Aubessard.

Honneur à tous ceux qui ont fait le sacrifice de leur vie dans la lutte pour l'indépendance et la liberté de la France.

Honneur à Pierre SEMARD.

Honneur à tous les camarades.

Honneur à tous les camarades résistants.

Merci à toutes et tous d'avoir répondu présent.

Vive la liberté, vive la paix.

Nous vous invitons à respecter une minute de silence avant le chant des partisans et la Marseillaise.

 

Extrait de l’Hommage de Roger Gorce au nom du syndicat CGT des cheminots de Limoges

Montauban

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La vie des sections
11 septembre 2023
Mis à jour : 11 septembre 2023
Affichages : 26

Montauban

 

Cérémonie commémorative du 8 mai 1945 en gare de Montauban

 

C'est un petit comité de l’ANCAC qui a célébré le 78éme anniversaire de la victoire du 8 mai 1945 rendant hommage à tous ceux qui ont donné leur vie pour défendre notre France.

Par leur présence ils transmettent le devoir de mémoire aux générations futures rappelant le sacrifice de notre corporation durant l'occupation nazie.

 

Jean Francis Saint Poly ANCAC de Montauban et avec la participation de André Lières Président du Réseau Sud-Ouest.

 

Toulouse

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La vie des sections
11 septembre 2023
Mis à jour : 11 septembre 2023
Affichages : 21

Toulouse

 

Cérémonie commémorative de la victoire du 8 mai 1945 

Le vendredi 5 mai 2023 en Gare de Toulouse-Matabiau

C'est à l'extérieur du hall2 de la gare de Toulouse Matabiau que la cérémonie du 8 mai s'est déroulée le vendredi 5 mai 2023 (par suite des travaux qui ont lieu à l'intérieur de la gare) où M. De Scoraille Adjoint au Maire de Toulouse a tenu à adresser de chaleureux remerciements à M. Schouver Renaud, Directeur de l'ONAC VG pour son activité humaine auprès de l'ensemble du monde combattant lors de son séjour en Haute-Garonne.

Etaient présents M. le préfet de la Région Occitanie, préfet de la Haute-Garonne, représenté par M.  Schouver Renaud, Directeur de l'ONACVG de la Haute-Garonne, M. le Président du Conseil Départemental de la Haute-Garonne représenté par M. Vincent Gilbert, Vice-Président, M. le maire de Toulouse représenté par M. De Scoraille Jean-Baptiste et M. Lattes Michel, Adjoints au Maire, la SNCF représentée par M. Lahaie Frédéric représentant Mme Pied Myriam, Directrice des Gares de l'UG Toulouse-Occitanie-Pyrénées, Mmes MM. Les Présidents d'Associations d'Anciens Combattants, Mmes MM. Les porte-drapeaux, Mmes MM. Les Représentants Syndicaux.

Mesdames, Messieurs, Chers camarades et amis toulousains, en ce vendredi 5 mai 2023 nous célébrons le 78ème Anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945 qui mettait fin à la guerre sur notre continent Européen et à la capitulation sans condition de l’Allemagne nazie. C'est ainsi que par votre présence et nous vous en remercions nous préservons encore ce devoir de mémoire à transmettre aux générations futures, le sacrifice de toutes ces femmes et hommes qui ont donné leur vie pour que nous puissions vivre libres. Malheureusement depuis plus d'un an la guerre frappe à nos portes, souhaitons une Paix durable puisse l'emporter sur la folie de la guerre.

Lecture du message de l'UFAC par Mme Monique Attia, Présidente de l'UFAC Haute-Garonne.

Lecture du message de Mme la Secrétaire d'Etat auprès de M. le ministre des Armées chargée des Anciens Combattants et de la mémoire par M. Schouver Renaud, Directeur de l'ONAC VG représentant M. le préfet de la Région Occitanie, préfet de la Haute Garonne.

A l'appel du Président de l'ANCAC dépôt de gerbes.

Minute de silence demandée par M. Lahaie Frédéric représentant Mme la Directrice de l'UG Toulouse-Occitanie-Pyrénées. Sonnerie aux Morts suivie de l’Hymne National « La Marseillaise 

Remerciements par les personnalités aux Porte-Drapeaux.

Fin de la cérémonie.

André Lieres Président de l’ANCAC Toulouse

Tarbes

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La vie des sections
11 septembre 2023
Mis à jour : 11 septembre 2023
Affichages : 21

Tarbes

 

La cérémonie du 8 mai, a eu lieu devant la stèle du souvenir dans le hall de la gare de Tarbes, en présence de plusieurs associations et bien sur des membres de l’ANCAC.

Le message de l’UFAC fut écouté avec attention et beaucoup d’émotion.

 

Raymond BARRACA

 

Marseille

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La vie des sections
8 septembre 2023
Mis à jour : 11 septembre 2023
Affichages : 23

Marseille

 

Commémoration des rafles du Vieux-Port, de l'Opéra et de la destruction des Vieux-Quartiers.

 

Il y a 80 ans s’écrivait une des pages les plus sombres de l’histoire de Marseille. Les rafles dont celles de l’Opéra comme la destruction des Vieux-Quartiers sont inscrites dans notre histoire par l’antisémitisme et la violence inouïe à laquelle se sont livrées les forces de la Collaboration et celles de l’Allemagne Hitlérienne

Marseille se souvient, janvier 1943 :

Entre le 22 et le 24 janvier 1943, Marseille a connu les rafles les plus importantes après celle du Vél'd’Hiv à Paris. Elles s'accompagnèrent de la plus importante destruction d’un ensemble urbain jamais connue en France.

Après le débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942, Marseille bien qu’en zone libre, passe sous la botte de l’occupant avec l’arrivée des troupes allemandes en ville.

A Berlin, Hitler décide de procéder à la destruction des Vieux-Quartiers, considérés à la fois comme une « porcherie » et un nid de Résistance (des actions armées de la Résistance contre les lieux fréquentés par les allemands font de nombreux blessés et deux morts). Heinrich HIMMLER, chef de la SS pour le Reich, ordonne de détruire par explosifs cette « sous-ville » et de déporter ses habitants. En janvier 1943, les autorités françaises s’engagent à prendre en charge l’évacuation forcée des Vieux-Quartiers et à organiser des rafles dans l’ensemble du centre de Marseille.

Cette opération, nommée « opération SULTAN », est ainsi réalisée entre janvier et février 1943 avec la collaboration de la police française commandée par le secrétaire général de la police, René Bousquet (12 000 policiers français dont certains déplacés depuis Lyon, Paris ou Toulouse).

22 janvier 1943 : Rafle de l’Opéra. Ce soir-là, jour de chabbat, dans le centre-ville et de part et d’autre de la Canebière, en particulier dans le quartier de l’Opéra où les familles juives sont nombreuses, les appartements sont systématiquement visités par des équipes de policiers français avec l’aide de serruriers réquisitionnés. Jusqu’au petit matin, les policiers français multiplient les arrestations. 1865 personnes sont dirigées vers la prison des Baumettes.

23 janvier 1943, les troupes allemandes encerclent le quartier du Vieux-Port, la police française est mobilisée en nombre dans le quartier. À la tombée de la nuit, les arrestations massives reprennent.

24 janvier 1943 : L’évacuation forcée du quartier du Vieux-Port commence. Policiers français et soldats allemands réveillent les habitants, rue par rue et leur ordonnent de quitter leurs logements. Les voitures de police munies de haut-parleurs diffusent le message suivant :

« Habitants du quartier, pour des raisons d’ordre militaire et afin de garantir en toutes circonstances la sécurité de la population, les hautes autorités allemandes ont décidé de procéder à votre évacuation.

Préparez-vous donc immédiatement à quitter votre domicile. N’emportez que des bagages à main : couverture, linge de corps, vêtements chauds, vivres pour 48 heures. Votre hébergement sera assuré. Des indemnités vous seront payées.

Soyez calmes et disciplinés ! À partir de maintenant, il est rigoureusement interdit de circuler dans les rues sauf en groupes organisés sous la conduite des autorités chargées des opérations d’évacuation. Fermez à clé en partant.

Attention ! Toute personne trouvée en possession d’une arme à feu ou d’une arme blanche sera immédiatement arrêtée et jugée. Elle sera punie de la peine de mort.

Dans votre propre intérêt, facilitez la tâche des autorités françaises qui ont besoin de votre discipline et de votre concours pour mener à bien cette difficile opération ».

Les familles, emportant leurs maigres affaires sous le bras, sont regroupées sur le quai du port et poussées dans les tramways et les autocars réquisitionnés. Transférés de la gare d’Arenc dans des wagons à bestiaux cadenassés, la plupart des raflés partiront vers les camps de Fréjus, les familles juives seront elles envoyées aux Baumettes puis déportées jusqu’au camp de la mort de Sobibor.

A Fréjus, un « tri » opéré sur les détenus par des commissions mixtes franco-allemandes sur la base de fichiers fournis par les français condamnera une partie de ceux-ci à rejoindre les camps de déportation. Les autres, la majorité des détenus de Fréjus, seront renvoyés vers MarseilleLa plupart d’entre eux retrouveront leur logement pillé et ne pourront pas le réintégrer.

A partir du 1er février, commencent les opérations de dynamitage des Vieux Quartiers qui durent plus de deux semaines.

Lourd bilan humain : 20 000 personnes évacuées de force de leurs logements, plus de 6000 arrestations, 1642 déportés au camp de Sobibor en Pologne.

Lourd bilan matériel : 1500 immeubles détruits, 50 rues effacées de la carte, 14 hectares rasés et ce en plein centre-ville, centre historique de Marseille.

 

 

Marseille se souvient, 29 janvier 2023

80 ans après ce drame, au moment où les derniers témoins disparaissent, la Ville de Marseille s’attache à transmettre l’histoire et rendre hommage à la mémoire des hommes, femmes, enfants, arrêtés, évacués de force puis, pour certains, déportés parce que nés Juifs ou résistants.

Cet hommage se déroule en trois cérémonies organisées par Monsieur le maire de Marseille, Monsieur Benoit Payan, en présence de Monsieur le ministre de l’Intérieur, Monsieur Gérald Darmanin, Madame la Secrétaire d’Etat auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire, Madame Patricia Mirallès et bien d’autres parlementaires, sénateurs et élus de la ville de Marseille.

La première commémoration s’effectue à l’Hôtel de Ville. De nombreux discours et de poignants témoignages sont prononcés, honorant la mémoire de ces personnes torturées par tant de haine et dont beaucoup ne sont pas revenues. Les porte-drapeaux des corps d’armées et civils sont présents, sombres et recueillis, la chorale d’un établissement scolaire marseillais accompagne la tristesse par ses chants.

C’est ensuite place du 23 janvier 1943, que vont se poursuivre discours et dépôts de gerbes. Cette place conserve les vestiges des bâtiments dynamités. Les recueillements sont accompagnés par la Chorale de l’Opéra de Marseille, où le canon des voix porte avec une intensité et une beauté tragique l’hymne national.

Le cortège s’est ensuite déplacé sur la place de l’Opéra déjà remplie de monde. En 1943 au moment des rafles, l’Opéra et ses rues avoisinantes est un quartier où vivent principalement des familles juives.

De ce fait, les représentants des trois grandes institutions religieuses de Marseille (FSJU PACA, Consistoire Israélite de Marseille et CRIF Marseille Provence) ont pris la parole ainsi que certains rescapés dont la vie après tant d’abominations est maintenant consacrée au devoir de mémoire. La jeune génération est là, représentée en nombre et a déposé une gerbe sous la plaque du souvenir des déportés.

Pour clore la cérémonie, le Grand Rabbin de Marseille, a récité la prière du souvenir et le kaddish, en hommage à toutes les victimes de la barbarie nazie.

 

« Souviens-toi » sera le « leiv-motiv » de cette journée et de ces commémorations

 

Valérie Gusmaroli

ANCAC Marseille

Angoulême

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La vie des sections
8 septembre 2023
Mis à jour : 8 septembre 2023
Affichages : 22

Angoulême

 

 

 

 

Le jeudi 15 juin 2023 l’ANCAC était invitée à la cérémonie à la mémoire des victimes des bombardements de la ville des 15 juin et 14 août 1944 à Angoulême

Commémoration au monument érigé square Henri DARAS avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny. C’est le quartier des gares (à l’époque la ville en compte cinq) qui est ciblé. Les bombardiers volent haut pour éviter d’être abattus par la DCA Allemande. Malheureusement certaines bombes manquent leurs cibles et tombent sur les habitations. Ces bombardements ont fait 184 morts.

On peut voir des photos d’archives au dépôt d’Angoulême.

A 11h00 ce jeudi 15 juin 2023, vingt porte-drapeaux, le Directeur de l’ONAC qui représente Madame la Préfète, Monsieur le Maire d’Angoulême, le lieutenant Colonel de la DMD, la gendarmerie, et quelques personnes étaient présentes. Trois gerbes furent déposées, puis lecture du message par le Président de l’ANCAC d’Angoulême. Fin de la cérémonie par le remerciement aux porte-drapeaux.

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